Silence. le lundi 12 septembre 2005 par Carla L. Sauvage enfance,Tu Es 번역 - Silence. le lundi 12 septembre 2005 par Carla L. Sauvage enfance,Tu Es 한국어 말하는 방법

Silence. le lundi 12 septembre 2005



Silence. le lundi 12 septembre 2005 par Carla L.

Sauvage enfance,
Tu Es l'arbre au treillis de verdure,
Tu Es le vert et tu Es la ramure,
Tu t'échappes, tu te faufiles,
Tu t'effarouches, tu t'absentes,
Ecoute le vent et ses murmures :

***

« Le silence ne prend pas en traître,
Seules les pensées dites blessent ou rongent,
Dans les profondeurs du cœur, tu es maître
Du domaine des maux et du pays des songes »

***

Sauvage enfance,
Le rire blondit ta chevelure,
Les larmes polissent ton armure,
Tu t'échappes, tu te faufiles,
Tu t'effarouches, tu t'absentes…


Jeux themes, vendredi 9 septembre 2005 par Alain 93


des mots sans horizon
poussés avec ardeur
à l'extérieur du coeur
bien souvent sans raison
comme sortis de prison
évadés par erreur
de tant d'années de peur
recherchant sa maison
bravant la dérision
navigant dans l'horreur
de voir au fil des heures
la fin de l'horizon



La violence des mots, vendredi 9 septembre 2005 par Frère Pascally

creuse-moi un ermitage
cagibi inconnu et caché
dans le ventre d'un baobab
sur les sables brûlants
d'un lointain désert.

***

efface toute la lumière
de mon Eden intérieur
de cieux nébuleux de l'intelligence
que tombe la nuit de l'entendement
la passivité crue de l'imagination.

***

mon loup affamé de lettres
enfermé dans une cage en fer
sera dressé avec rigueur
dans l'épargne des mots
un long jeûne des pensées.

***

les mots, ces bêtes voraces
poursuivent le jeune poète
brûlent l'énergie de ses mainssèchent l'encre de sa plume
et s'imposent ...

***

je cherche un refuge
au-delà de ce rixe
la paix et le reposdans la quiétude
mais quand et où ?





Coquillage, jeudi 8 septembre 2005 par Alain Hannecart

les femmes qui aiment séduire se parent de beaux bijoux
Plaisantent des hommes qui mettent leur cœur en détresse
Elles succombent aux caresses de la brise qui joue
Elles s'intéressent à nous autant qu'à des cailloux
Et se prennent à rêver quand elles se font des tresses



Mercredi 7 septembre 2005 par Jérôme


Le jour se lève dans l'habitude
Six millards de paires de pieds et de mains
Le courage se forge dans l'inquiètude
Ils s'occupent d'édifier un visage pour demain
De vieilles rides sur la figures de l'homme
Quatre milles ans de mémoire au creu des reins
Ecrite dans toutes les langues de l'histoire
Sur sa peau d'incoercible chagrin
Lui même ne sait pas lire cette somme
Dont le mot définirait son genre "Humain"
Courage fils de l'histoire !
Tes pères se sont perdus sur milles et milles chemins
Tu émerges dans un béton de nuit noire
Mais malgré tout le monde est entre tes mains
Les limites de la réalité
Sont les limites de ton imaginaire
Portes bien haut de ton rêve
La lumière

Faites-moi l'aumone, mercredi 7 septembre 2005 par Bibi


Donnez-moi
un verre
moitié vide
moitié rempli
d'au-delà
plein d'étoiles
de lunes
et de soleils
pour avaler
les pillules
de mon chapelet
de lumières bleues.
Plongé dans l'ombre
au beau milieu
du missel
se repose
mon scapulaire
d'images surréelles
des saintes anodines.
La madonne
souriant
tendrement
à la virginité
d'un silence de mort
berce encore les émois.
Faites-moi l'aumone
d'un verre d'au-delà
tout plein d'étoiles
et les maux de mes mots
redeviendront
des bougies de prière
aux anges chevauchant
les souffrances
et les pleurs du bonheur.



Sans Titre, mercredi 7 septembre 2005 par EdgarJ.Ford


DERNIER ETE

I

Arborescence fragile délaissée l'Humanité
Autour de laquelle clamant leur souveraineté
S'articulent de misérables saisons, engendrant
Des (mé)créanciers vaincus malheureux tyrans
Nababs sans statues d'une avidité accrue.
Au firmament la constellation apparue.
Le ciel fait sa révolution, sublimité
Une voûte céleste constellée d'aérolithes morts,
Laissant place à des étoiles étincelantes, ports
D'embarcation pour un été démérité.
Au firmament le renouveau de la clarté,
Renaissance où préside désormais l'astre solaire,
En despote majestueux son règne à parfaire
Brille brille étincelle d'un bonheur réinventé.
A ce vague océan je me suis confié tant
Calme par moment et tempétueux souvent
Avec ses déferlantes, ses houles, ses profusions.
Jadis trésor de la terre nous la baptisions
Douce liqueur maritime ! Enivrant sans cesse
Des voix de plus en plus fortes émergent dans l'esprit
Comme un flot de notes excitant l'ouie de caresses !
Sirènes ! Entends les sirènes ! Précieux en est le prix !

II

Dans la brûlante nuit estivale le silence
Est maintenant le propriétaire des lieux.
Le vaisseau pillé n'est plus le riche, le prétentieux,
Bâtiment aux canons dorés voguant vers la France.
Sous le crépuscule disparu les étoiles dansent
A bord les quelques survivants boivent et pansent
Leurs plaies alors que les côtes se rapprochent. Rompu
Et blessé lors de l'abordage je n'entends guère plus
Que mes pensées s'entrechoquant sereinement
Et le flot de notes disparaissant doucement.
Allongé sur la proue souillée par le sombre sang
Je lève maintenant les yeux vers un vaste azur
Confondant de beauté où la nuit douce et pure
M'étreint tendrement et le Grand Chien m'attend.



Liberté. mardi 6 septembre 2005 par Elodie


A tous les esclaves qui se croient libres.
A l'amoureux transis qui se pétrifie sur lui-même.
Au travailleur acharné qui oublie d'ôter ses ornières.
A l'adolescent assoiffé d'une identité de marques.
Au consommateur repus en quête de nouveaux besoins.
Au fou qui se cache derrière un masque social.
Au moraliste qui fait taire son effrayante folie.
Au moins que rien qui noie son génie dans une liqueur de poire.
Au plus que tout qui substitue à son moins que rien, une nuée d'artifices.
Au poète désoeuvré qui se retire du monde.
Au solitaire qui dépend des autres.
A l'altruiste misanthrope.
A l'humaniste scellé sur son fauteuil.
Au sauveur de l'humanité qui ne voit même plus ses proches crever.
Au dépressif psychologue.
A l'homme incarcéré derrière des barreaux théoriques.
Au large d'esprit qui s'éborgne au monde.
Au cynique qui vomit sur les autres sa propre laideur.
A l'intolérant qui n'existe que dans le vide de son égo.
Au conjoint comblé devenu fantôme dans son propre foyer.
A celui qui aime en refusant l'amour.
A celui qui n'aime plus mais qui reste.
Au sentimental qui ravale ses pleurs et déchire son cœur.
Au robuste qui s'effondre sur lui-même.
Au penseur claustrophobe, égaré dans son esprit.
Au beau parleur atteint de surdité.
A l'écrivain bourré de principes dictés.
Au chanteur qui tourne en boucle dans un refrain.
Au peintre qui ne se mélange pas les pinceaux et cultive l'art du monochrome.
A l'architecte de son temps bétonné.
A tout ceux qui étouffent les voies de l'imagination.
A tout ceux qui ne savent pas écouter leur révolte intérieure.
A tout ceux qui se rétractent lorsqu'il faudrait foncer.
A tout ceux qui par peur du noir fuient la lumière.
A tout ceux qui deviennent néant à force de certitudes.
Au déserteur du réel qui s'évade en esprit mais sonne le repli à l'orée de l'action.
A ce remarquable ferronnier qui excelle dans l'art de fabriquer ses propres chaînes.
A l'imposteur qui renie sa nature profonde.
Au plus bel Hypocrite que porte le monde.
A l'homme !

Tu enjambes les vallées, lundi 5 septembre par Devine

Danse comète
Elan blanche
cavalcades et tressailles
Tes hanches volent la terre
en éclat secouent les sombres
là où ton corps sait battre
tout au cœur tu me sauves
D'éloignée je témoigne, tu viens me reconnaître
en tes yeux le passage obligé
des pavés se soulèvent pour suivre tes pieds,
des phales secrets millénaires tentent leurs percées
Tes seins clament la discorde :
Tu enjambes les vallées
Promise, resque sournoise, tu domptes les allées
sans fin ni loi sage sauvage ta croupe folle en l'avers qui m'assaille
effet de fin sans faille ni abord
Fait de restes tu m'assoies
Danse comète
Elan blanche
cavalcades et tressailles
Tes hanches volent la terre
en éclat secouent les sombres
là où ton corps sait battre
tout au cœur tu me sauves


J'ai crié ton nom, le dimanche 4 septembre 2005 par Violette Poulin


J'ai crié ton nom
Comme on chante à tue tête,
À cœur nu
À corps nu
Et mon cœur a aimé
Comme on aime pour toujours.
Je t'ai bu
Comme on boit à une source,
À main nue
À corps nu
Et mon cœur assoiffé
S'est trouvé rassasié
Et mon cœur a aimé
Comme on aime pour toujours.
Je t'ai respiré
Comme on respire une fleur,
À main nue,
À corps nu
Et j'ai fermé les yeux
Pour garder la douceur
Et mon cœur a aimé
Comme on aime pour toujours.
Tu as crié « maman »
Comme on retrouve la vie
Dans ce printemps naissant,
Moi je t'ai vu dansé
À cœur nu,
À corps nu
Et j'ai crié ton nom
Comme on chante à tue-tête,
Et mon cœur a aimé
Comme on aime pour toujours.
Et mon cœur a soufflé
Comme souffle le vent
Et mon cœur s'est gonflé
Comme se gonfle le sein,
Et mon cœur a coulé
Comme coule une source
Et mon cœur a aimé
Comme on aime pour toujours.



LE DAIMON ( Nietzsche, Van Gogh), dimanche 4 septembre 2005 par J-R

C'est à cette époque aussi, je crois, qu'un autre amant
De l'ombre quoi qu'éclatant -,
Se jeta au cou de ses frères dans une petite ruelle
Pavée et brillante du nord de l'Italie,
Et qu'on voulu dompter.
Depuis, les hommes rares se souviennent, et goûtent encore
Les quelques larmes que le dément pleura sur le cheval.

S'il n'y a que les fous qui empêchent qu'on batte les chevaux
Alors…c'est terrible…

Oui C'est bien en 1888 que tu revêtis ton gilet tournoyant Vincent,
Multicolore
Tes voisins de siècle t'ont ignoré, ainsi que la douleur
Tant de nuit je t'ai aperçu, seul à recueillir les blessures d'une couleur ;
A pleurer sur un chevalet

A écouter l'appel d'un piano noir.

Cette année encore, que tu avais le pouce encarcanné
De teintes profondes
De mélanges, de pinceaux De tentatives…

Ah les communions que l'on pleure, qu'on appelle, la nuit
Dans la solitude, et qui retournent parfois au silence.

Ils ne t'ont pas vu ! Ils ont ignoré l'oeil qui pleure à mon cœur
Qui baigne, là-bas dans le varech des océans indomptés,
D'écume et de fureur
L'œil que tu voulus plonger d
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침묵입니다. 월요일 9 월 12 일 2005 년 칼라에 의해입니다. 야생의 아이녹지, 매트에 나무는녹색은 고 뿔,당신은 당신이 faufiles 당신이 놓으면,당신은 effarouches, 당신은 결 석,바람 및 그것의 불평을 듣고:***"침묵은 하지 배신자,라는 생각만 다치게 하거나 갉 아 먹는,심 혼의 깊이에서 있습니다 마스터도메인 아파 고 꿈의 나라입니다.***야생의 아이웃음 blondit 머리,눈물 폴란드어 당신의 갑옷당신은 당신이 faufiles 당신이 놓으면,당신은 effarouches, 당신은 결 석...게임 테마, 금요일 알랭 93에 의해 2005 년 9 월 9 일 수평선 없이 단어 하드 밀어 마음 밖에 서 이유 없이 자주 감옥 밖으로 실수로 탈북자 두려움의 많은 년 그것의 가정을 찾고 무릅쓰고 조롱 공포에서 탐색 시간 참조 지평선의 끝단어, 금요일 2005 년 9 월 9 일 형제 Pascally에 의해의 폭력나는 암 자 발굴cagibi 알 수 없는 및 숨겨진바오 밥 나무의 뱃속에뜨거운 모래에먼 사막.***모든 빛을 지웁니다.내 국내 Eden지능의 흐릿한 하늘그가의 밤소극성 원시 상상력입니다.***내 늑대 배 편지철 장에 갇혀사후 경직으로 준비 됩니다.단어의 절감오래 빠른 생각입니다.***단어,이 왕성 짐승젊은 시인을 계속그의 펜 mainssechent에서의 잉크의 에너지를 점화그리고 필요한...***나는 피난처를 추구이 싸움을 넘어평화와 평온 reposdans하지만 언제, 어디서? 쉘, 목요일 Alain Hannecart에 의해 2005 년 9 월 8 일사랑을 유혹 하는 여성들은 아름 다운 보석의 부모 농담 사람 고통에 그들의 심 혼을 넣어 그들은 재생 바람의 애 무에 굴복 그들은 우리 뿐만 아니라 자갈에 관심이 그리고 스스로 꿈을 들은 머리 띠수요일 제롬에 의해 2005 년 9 월 7 일 습관에 날이 밝 았손과 발의 쌍의 6 억불안에서 위조 하는 용기그들은 내일에 대 한 얼굴 만들려고 처리인간의 숫자에 오래 된 주름신장 creu 메모리의 4 천 년모든 언어 역사에 작성 된거침 없는 슬픔의 그녀의 피부에그는 심지어이 합계를 읽을 수 없습니다.단어 정의 '인간' 종류용기 아들!당신의 아버지는 마일과 마일 경로에 분실 되었다당신은 어두운 콘크리트에와 서하지만 모든 것에 불구 하 고 세계에 손현실의 한계당신의 상상력의 한계는여러분의 꿈의 높은 문빛나에 게 연금, 수요일 비비에 의해 2005 년 9 월 7 일 주세요유리절반은 비어반쯤 채워진넘어별이 가득위성그리고 태양소화 하기알 약내 묵 주파란색 조명.그늘에중간에미사 전 서의달려있다내 스카풀라초현실적인 이미지양성 생입니다.우리의 레이디미소다 정하게순 결죽음의 침묵여전히 스릴 락.나에 게 베 풀넘어의 유리별이 가득그리고 내 말의 폐해되기도 초타고 천사고통그리고 행복의 눈물입니다. 제목, 수요일 EdgarJ.Ford에 의해 2005 년 9 월 7 일 지난 여름난연약한 나무 인류를 무시대는 그들의 군주를 주장일으키는 비참 한 계절의 회전(나) 채권자 불행 한 폭군을 패배증가 탐욕 동상 없이 모.나타난된 별자리의 창 공.그것의 혁명, 장엄 했다 하늘죽은 불덩어리의 박 혀 하늘 돔반짝이 별, 포트에 대 한 공간을 떠나보트는 여름 결입니다.선명도의 리바이벌의 창 공에어디 지금 르네상스 태양광 스타의 자위엄 있는 군주 완벽 하 게 그의 통치빛나는 reinvented 행복의 빛나는 불꽃.At이이 바다 물결 나 나 둘 다 위탁 오전종종 시간에 조용 하 고 폭풍우와 분리, 그것의 부, 그것의 profusions.재무부의 우리 선택에달콤한 리큐 어 해상! 끊임없이 술성령에 더 강한 목소리 등장포옹의 흥미로운 노트의 스트림으로!사이렌! 사이렌을 듣고! 귀중 한 가격이입니다!2 세뜨거운 여름 밤 침묵에이제는 건물의 소유자가입니다.약탈된 배 더 풍부 하다는 시 치 미.황금 총 건물은 프랑스를 밟 았다.없어진 황혼 아래 별 댄스보드에 몇 생존자 음료 및 사슬그들의 상처를 측면 닫습니다. 브로 큰그리고 조금 더 많은 것 들을 충돌 하는 동안 부상그 차분한 정상 내 생각그리고 천천히 사라지고 노트의 흐름입니다.어두운 혈액으로 오염 된 활에 누워나는 지금 광대 한 azure에 눈 인상아름다움을 혼란 어디 감 미 롭 고 순수한 밤나를 다 정하게 포옹 하 고 개 나를 기다리고. 자유입니다. 화요일 엘 로디에 의해 2005 년 9 월 6 일 모두 스스로 무료 믿는 노예.사람 자체에 petrifies를 끌고 애 인.그의 습을 제거 하는 걸 잊을 하드 노동자.브랜드 아이덴티티의 미친된 청년입니다.소비자는 새로운 요구를 찾기 위해 먹은 때 가입니다.바보를 누가 사회 마스크 뒤에 숨깁니다.도덕을 누가 그의 무서운 광 기 침묵.적어도 배 리큐 어에서 그의 천재를 익사 하는 아무것도.누구 보다 더 아무것도, 불꽃의 구름 보다는 더 적은 그의 재정의합니다.세계에서 철회 하는 목적 시인.다른 사람에 따라 누가 솔리테어에 타 적인 염 세.그의 자에 봉인 된 인 본 주의입니다.인류의 구세주를 그 죽을 더 많은 친척을 본다.Au dépressif psychologue.A l'homme incarcéré derrière des barreaux théoriques.Au large d'esprit qui s'éborgne au monde.Au cynique qui vomit sur les autres sa propre laideur.A l'intolérant qui n'existe que dans le vide de son égo.Au conjoint comblé devenu fantôme dans son propre foyer.A celui qui aime en refusant l'amour.A celui qui n'aime plus mais qui reste.Au sentimental qui ravale ses pleurs et déchire son cœur.Au robuste qui s'effondre sur lui-même.Au penseur claustrophobe, égaré dans son esprit.Au beau parleur atteint de surdité.A l'écrivain bourré de principes dictés.Au chanteur qui tourne en boucle dans un refrain.Au peintre qui ne se mélange pas les pinceaux et cultive l'art du monochrome.A l'architecte de son temps bétonné.A tout ceux qui étouffent les voies de l'imagination.A tout ceux qui ne savent pas écouter leur révolte intérieure.A tout ceux qui se rétractent lorsqu'il faudrait foncer.A tout ceux qui par peur du noir fuient la lumière.A tout ceux qui deviennent néant à force de certitudes.Au déserteur du réel qui s'évade en esprit mais sonne le repli à l'orée de l'action.A ce remarquable ferronnier qui excelle dans l'art de fabriquer ses propres chaînes.A l'imposteur qui renie sa nature profonde.Au plus bel Hypocrite que porte le monde.A l'homme !Tu enjambes les vallées, lundi 5 septembre par Devine Danse comèteElan blanchecavalcades et tressaillesTes hanches volent la terreen éclat secouent les sombreslà où ton corps sait battretout au cœur tu me sauvesD'éloignée je témoigne, tu viens me reconnaîtreen tes yeux le passage obligédes pavés se soulèvent pour suivre tes pieds,des phales secrets millénaires tentent leurs percéesTes seins clament la discorde :Tu enjambes les valléesPromise, resque sournoise, tu domptes les alléessans fin ni loi sage sauvage ta croupe folle en l'avers qui m'assailleeffet de fin sans faille ni abordFait de restes tu m'assoiesDanse comèteElan blanchecavalcades et tressaillesTes hanches volent la terreen éclat secouent les sombreslà où ton corps sait battretout au cœur tu me sauvesJ'ai crié ton nom, le dimanche 4 septembre 2005 par Violette PoulinJ'ai crié ton nomComme on chante à tue tête,À cœur nuÀ corps nuEt mon cœur a aiméComme on aime pour toujours.Je t'ai buComme on boit à une source,À main nueÀ corps nuEt mon cœur assoifféS'est trouvé rassasiéEt mon cœur a aiméComme on aime pour toujours.Je t'ai respiréComme on respire une fleur,À main nue,À corps nuEt j'ai fermé les yeuxPour garder la douceurEt mon cœur a aiméComme on aime pour toujours.Tu as crié « maman »Comme on retrouve la vieDans ce printemps naissant,Moi je t'ai vu danséÀ cœur nu,À corps nuEt j'ai crié ton nomComme on chante à tue-tête,Et mon cœur a aiméComme on aime pour toujours.Et mon cœur a souffléComme souffle le ventEt mon cœur s'est gonfléComme se gonfle le sein,Et mon cœur a couléComme coule une sourceEt mon cœur a aiméComme on aime pour toujours.LE DAIMON ( Nietzsche, Van Gogh), dimanche 4 septembre 2005 par J-R C'est à cette époque aussi, je crois, qu'un autre amant De l'ombre quoi qu'éclatant -, Se jeta au cou de ses frères dans une petite ruelle Pavée et brillante du nord de l'Italie, Et qu'on voulu dompter. Depuis, les hommes rares se souviennent, et goûtent encore Les quelques larmes que le dément pleura sur le cheval.S'il n'y a que les fous qui empêchent qu'on batte les chevaux Alors…c'est terrible…Oui C'est bien en 1888 que tu revêtis ton gilet tournoyant Vincent, Multicolore Tes voisins de siècle t'ont ignoré, ainsi que la douleur Tant de nuit je t'ai aperçu, seul à recueillir les blessures d'une couleur ; A pleurer sur un chevaletA écouter l'appel d'un piano noir.Cette année encore, que tu avais le pouce encarcanné De teintes profondes De mélanges, de pinceaux De tentatives…Ah les communions que l'on pleure, qu'on appelle, la nuit Dans la solitude, et qui retournent parfois au silence.Ils ne t'ont pas vu ! Ils ont ignoré l'oeil qui pleure à mon cœur Qui baigne, là-bas dans le varech des océans indomptés, D'écume et de fureur L'œil que tu voulus plonger d
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침묵. 칼라 L.에 의해 2005년 9월 12일 (월요일) 와일드 아이, 당신은 녹색 피로에 나무가 있습니까, 당신은 녹색과 에스 뿔,인가 , 너는 탈출, 당신이 몰래 않습니다 당신이 무서 워, 당신은 자신을 결석 , 바람과 속삭임을 들어 : *** "침묵은 반역자를 지원하지 않습니다 만 손상 또는 갉아 먹는 생각, 말을 마음의 깊은 곳에서, 당신이 주인입니다 질환의 필드와 꿈의 땅에서 " *** 야생 어린 시절 웃음이 당신의 머리 blondit 눈물이 당신의 갑옷을 연마 께서 탈출, 당신은 당신을 몰래, 당신은 당신이없는 무서워 ... 테마 게임, 알랭 93 2005년 9월 9일 (금요일) 수평선 단어없이은 으로 밀어 하드 심장의 외부에 종종 이유없이 밖으로 감옥 같은 실수로 탈출 공포의 많은 년 그의 집을 찾아 비웃음을 무릅 쓰고 공포에 검색 시간보고 수평선의 끝 폭력 형제 Pascally로 단어, 2005년 9월 9일 (금요일)은 나에게 암 파고 알 수없는 옷장 숨겨진 바오밥 나무의 뱃속에 불타는 모래에 먼 사막의. ***는 모든 빛이 지워 내 내부 에덴의 성운 하늘을 지능의 이해의 밤 떨어지는 상상의 원시 수동성을. *** 내 배고픈 늑대 문자 철 케이지에 갇혀는 엄격하게 훈련 될 것이다 단어를 저장에 긴 생각을 금식. *** 즉,이 탐욕스러운 짐승 젊은 시인이 추구하는 그의 펜의 mainssèchent 잉크의 에너지를 구울 필요 ... *** 내가 피난처 가지고 말다툼을 넘어 평화와 평온을 reposdans 하지만 언제 어디서? 쉘, 2005년 9월 8일 (목요일) 알랭 Hannecart에 의해 아름다운 보석으로 장식되어 유혹하는 사랑 여성 자신의 마음을 넣어 농담 남성 고통, 그들은 재생 바람의 애무에 굴복 그들은 관심 많은 자갈로 우리 가 꿈을 띠는 경우와는 촬영 제롬에 의해 2005년 9월 7일 (수요일) 태양은 습관 상승 손과 발 쌍의 여섯 억 용기는 우려에 위조 그들은 내일 얼굴 구축 다루는 인물에 오래된 주름 메모리 크 러이 신장의 4,000 년 이야기의 모든 언어로 작성된 의 피부 제어 할 수없는 슬픔에가 도 그는 알지 못한다 이 금액 읽고 단어를 정의 할있는을 일종의 "인간" 역사의 용기 아들! 네 아버지가 잃어버린 마일 경로 마일이 당신이 검은 밤 콘크리트로 등장 하지만 여전히 세상이 당신의 손에 의 한계 현실은 당신의 상상력의 한계이다 큰 소리로 당신의 꿈의 문 등이 비비로, 나에게 자선을 확인 2005년 9월 7일 (수요일) 줘 유리 반 빈 전체의 절반 이상을의 별이 가득 달 과 태양은 삼키는 알약 내 묵주 푸른 빛의. 그늘에 몰입 중간에 미사 경본의 휴식 내 어깨를 초현실적 인 이미지에서 거룩한 무해한의. 마돈나는 미소를 지으며 부드럽게 처녀 죽은 침묵 여전히 바위 감정. 나에게 자선 수행 초과의 유리를 모두 별 전체 내 말과 아픈 다시하게 기도 촛불을 타고 천사 고통 과 행복의 눈물을. 제목, 9월 7일 (수요일)없이 2005 EdgarJ.Ford 지난 여름에 나는 깨지기 쉬운 나무 버리고 인류는 주위에 자신의 주권을 주장 생성, 비참한 시즌이 회전 불행 폭군 패배 데스 (ME) 채권자를 증가 탐욕의 동상없이 Nawabs에 있습니다. 창공은 별자리 등장에 . 하늘은 그의 혁명, 장엄하다 , 죽은 불 덩어리 곳곳에 하늘 별이 빛나는 공간을 떠나, 포트 여름 디 보트 합당. 하늘에서 명확성의 갱신, 이제 태양 스타 의자 르네상스, 전제 군주 장엄한 혼에서 그의 통치 Brille는 재발 행복의 불꽃 빛나는. 이 바다 파도에서 나는 나를 이렇게 말했다 항상 조용하고 종종 격렬한 급증, 그 파도, 그 풍부.와 우리가 baptisions 땅의 이전 보물 두스를 해상 술! 짜릿한 끊임없이 마음에 신흥 점점 더 강한 목소리 애무를 듣고 흥미 진진한 노트의 홍수!처럼 사이렌! 사이렌 소리를 듣고! 소중한 가격!입니다 II 뜨거운 여름 밤의 침묵에 지금의 소유자입니다. 배는 부유 한, 자부 약탈되는 황금 총을 프랑스로 항해 건물. 황혼의 별 춤을 사라에서 소수의 생존자를 타고 마시는 핥는 갈비뼈가 함께 모여있는 동안 자신의 상처를. 브로큰 내가 좀 더 듣고 충돌에서 부상 무엇 내 생각 차분한 잡았다 그리고 음의 홍수. 천천히 사라지고 어둠 피로 얼룩진 활에 누워 지금은 광대 한 푸른 조회 혼란 아름다움을 다정하고 순수한 밤 어디에 나와 부드럽게 안아 ​​큰 개자리 기다리고. 자유. 엘로 디에 의해 2005년 9월 6일 (화요일) 무료 자신을 믿는 모든 슬레이브. 자체에 petrifies 부끄럼 연인. 열심히 자신의 틀에 박힌 생활을 제거 할 수 있습니다. 잊어 갈증을 정체성이 십대를 표시하기위한 . 소비자에 새로운 요구를 찾고 만족을 했소 없습니다. 사회적 마스크 뒤에 미친에서. 그의 무시 무시한 광기를 침묵 도덕에서. 배 리큐어에서 자신의 천재 익사 적어도 아무것도. 더에서 대체 무엇보다 그 아무것도, 불꽃 놀이 구름보다. 세계에서 철회 목적이없는 시인에서. 다른 사람에 따라 달라집니다 외톨이합니다. 사심을 싫어하는. 봉인 된 그의 의자 인본주의합니다. 인류의 구세주에서 그 심지어 그의 친척. 죽을 본다 우울증 심리학자에서. 이론적 감옥 수감 남자. 세상을 éborgne 사람 마음이 넓은에서. 다른 사람에 자신의 추함을 구토 냉소적에서. 그 관용 N에서 단지 그의 자아의 진공 상태에서 존재한다. 배우자에 자신의 집에 가득 유령이되었다. 그에게 사랑을 거부 사랑하는 사람. 그에게.하지 만, 여전히 사랑 누가 그녀의 눈물을 삼키는 그의 입술 사람 감상에 심장입니다. 자체 붕괴가 강력합니다. 밀실 공포증 사상가에서, 그의 마음에 잃었다. 말하는 사람의 청각에. 구동 원리의 전체 작가. 가수의 반복 합창시. 화가에 이는 브러시를 혼합하고 흑백의 예술을 육성하지 않습니다. 자신의 시간의 콘크리트 건축가에. 상상력의 방법을 억압하는 모든 사람에게. 자신의 내부 반란을들을 수없는 모든 사람들에게. 어떤에서 철회가 그 때. 그것을 위해 가야한다 . 어두운 빛을 두려워 도망되어 모든 사람들에게 . 무의 확실성의 힘이 될 모든 사람들에게 마음에 탈출 실제 탈영병뿐만 하락 소리 액션의 가장자리. . 자신의 사슬을 만드는 기술이 뛰어난이 뛰어난 대장장이에서 자신의 진정한 본성을 거부 사기꾼에서. 세계를 운반하는 가장 좋은 위선자합니다. 사람! 당신은 계곡을 스팬 월요일, 디바인 9 월 5 댄스 혜성 앨런 화이트 cavalcades 및 tressailles 엉덩이가 땅을 비행 어두운 흔들 영광에 몸을 구타 알고 당신이 나를 구원 중심을 당신은 저를 인식, 지금까지 내가 증언에서 눈 통로 강제로 포장이 발을 유지하기 위해 제기되는 자신의 혁신을 시도 phales 비밀의 수천에 당신의 가슴이 갈등을 선포 : 당신은 계곡 스팬 약속을 기습 당신이 통로를 rulest lmost 끝없이 또는 미친 야생 현명한 법이있는 앞면을 열중 나를 습격 효과 완벽한 노어 (NOR) 종료 TU가 assoies 제작 잔재를 혜성 댄스 엘란 흰색 cavalcades 및 tressailles 엉덩이가 땅을 비행 어두운 흔들 영광에 몸을 구타 알고 당신이 나 저장 핵심을 나는 소리 쳤다을 바이올렛 Poulin의에 의해 당신의 이름, 2005년 9월 4일 (일요일)은 내가 당신의 이름을 소리를 질렀 당신이 큰 소리로 노래로, 벌거 벗은 마음에 벌거 벗은 몸 과 내 마음이 사랑하신 우리가 영원히 사랑으로. 나는 술에 취해했습니다 에 음주로 소스, 맨손으로 벌거 벗은 몸을 내 목 마른 마음이 만족을 했소 발견했다 그리고 내 마음이 사랑하신 우리가 영원히 사랑으로. 내가 숨을 한 당신은 꽃 호흡으로 베어 손을 벌거 벗은 몸 과 나 ' 내 눈을 폐쇄 단맛을 유지를 하고 내 마음이 사랑하고있다 . 우리가 영원히 사랑하는 당신은 "엄마"를 외쳤다 우리가 삶을 발견하면 ,이 새로운 봄에 내가 당신을 봤어요 춤 , 벌거 벗은 마음에 벌거 벗은 몸 과 나는 당신의 이름을 호출 당신이 큰 소리로 노래로 내 마음이 사랑하신 우리가 영원히 사랑으로. 그리고 내 마음은 불어 바람이 불면으로 그리고 내 마음이 부풀어 팽창으로 가슴을, 그리고 내 마음 침몰 흐르는 소스로 내 마음이 사랑하신 우리가. 영원히 사랑하는 JR로 다이몬 (니체, 반 고흐), 2005년 9월 4일 (일요일) 또한이 시간에, 나는 생각했다, 또 다른 연인 에서 그림자 무엇 qu'éclatant - 작은 골목에있는 그의 형제의 목에 캐스팅 경우 포장과 화려한 이탈리아 북부, . 그리고 우리는 길들이기 싶어 그 이후, 몇 사람이 기억하고 심지어 맛 눈물을 그 말에 울며 모순된다. 이 경우 그 그 박쥐 말을 계속 바보 그래서 ...이 ... 끔찍한 예, 당신이 빈센트, 소용돌이 당신의 조끼를 입었고, 1888 년이다 여러 가지 빛깔 테스를 이웃 세기뿐만 아니라 통증, 당신을 무시했다 만 컬러의 상처를 수집, 내가 당신을 봤어요 그래서 많은 밤, 이 젤에 울고 . 검은 피아노의 호출을 들으려면 올해 당신이 encarcanné 엄지 손가락 것으로 깊은 색상 드 혼합물, 시도에서 브러쉬 ... 우리가 울 교단 아, 밤라는 고독이, 때로는 침묵으로 복귀합니다. 그들은 당신이 보지! 그들은 내 마음에 눈물을 흘린다 눈 무시 길들여지지 않은 바다 다시마, 거기에 목욕 디부 거품과 분노 가 다이빙을하고 싶어 눈을


































































































































































































































































































































































번역되고, 잠시 기다려주십시오..
결과 (한국어) 3:[복제]
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침묵.2005년 9월 12일 가라오케 L


너 야만스럽다 어린 시절을, 녹화 나무 격,
너와 너의 녹색 잎이,
너 떠난 너 몰래 너 effarouches

, 너 없는 바람이 및 그의 낮은 듣다:

* * *

"침묵 안 반역,
오직 사상, 상해 또는 물고
깊은 마음, 니 주인은
사악한 영역과 꿈 의 나라 "

*


웃다 blondit 야생 어린 시절, 머리,

눈물 하자 갑옷, 너 가 너 몰래 effarouches
너는 없다...


게임 테마, 2005년 9월 9일 금요일 올란드 93



밀어 없는 말 지평선 뜨거운 마음 밖에


항상 같은 이유 없는 감옥에서 탈옥 오류

여러 해 동안 그는 집에

찾아야 된다. 무서워 무릅쓰고 테러

비행 중 볼 시간이 지나면서 지평선 끝




폭력 말을 2005년 9월 9일 금요일 형제 pascally


나 벽장 안에 팠다 은둔 알 수 없는, 숨어서 배가
한 인기

바오밥나무 의 모래 위에 먼 사막.

*


나 삭제 모든 빛의 에덴 안에
파라다이스 퍼지 지능
, 밤의 장막이 이해
수동 범람하다 상상력이.

*


나 굶주린 메시지 자물쇠 철의 우리 제정한 것이다 엄격한


한 말 은 저축 장기 금식.

* * *


말 이 짐승 추구하다 젊은 시인
연소 에너지 의 mainss 너는 아직 어머니께서 살아 계시는데 chent 잉크 펜, 필요한


*

* *...나는 한 피난처 찾는

보다 훨씬 많은 때리니, 평화와 조용했다 reposdans
근데 어디에 있습니까?





조개, 목요일, 2005년 9월 8일 by 올란드 hannecart

여자 꼬셔서 자기 부모 장신구 사람 그들을 농담을

그들은 마음 아픈 미풍이 애무는 죽었다 공분역의
그들은 관심이 우리는 마치 자갈
그들과 때 그들은 꿈 짠



2005년 9월 7일 by j


일어나는 습관 millards
6 대한 발, 손
용기가 조작된 관심을
그들은 수립을 위한 얼굴에 주름이 내일
낡은 인물이
4 년 creu 신장
쓸 수 있다 지금 메모리 중의 모든 언어 역사
번역되고, 잠시 기다려주십시오..
 
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