Avec ce texte, j’ai choisi d’embrasser le destin anonyme de ceux dont l’histoire s’est effacée devant
l’Histoire, dont on a pris la chair ou les cendres, pour fabriquer le terreau sur lequel nous faisons
germer les graines de nos arbres généalogiques. Je ne suis pas toujours fier de mes frères, les êtres
humains… et je souhaite que les parents de nos enfants cessent enfin de jeter des ordures non
dégradables dans le compost de l’Humanité…
Aussi, je dédie ce cri dérisoire à toutes les victimes de la barbarie idéologique, religieuse, institutionnelle
ou simplement gratuite.