Je feins parfois de l’imiter, cette nature, mais c’est pour mieux la limiter dans ses prétentions exorbitantes, en coutenir l’exubérance et les désordrs, sa tendance entropique, et lui imposer, en retour, par la médiation du regard, la sentence de l’art, les modes et les modèles de son appréhension. « la nature est chaque fois une fonciton de la culture », et « chaque fois qu’animée d’une aspiration à la Rousseau ells (la conscience) cherche à revenir à la nature, elle la cultive ».