La modification de l’expérience de l’espace, jusqu’à son abolition en termes de vis-à-vis planarisation aux télécommunications, entraîne le décrochage de la métaphore du temps comme image et forme de la durée, et avec elle la démonétarisation du temos comme mesure de ce qui a lieu ou n’a pas lieu dans la durée, comme échelle indicielle d’appréciation.
Mais que pourrait être un temps autre, qui ne soit ni un retour au temps des civilisation ayant été balayés, et définitivement éradiqués sans espoir de retour), ni le temps linéraire du progrès arrivé à son terme, comme on arrive au terme d’un parcours ? la seule chose que nous puissions en dire c’est que ce temps sera celui d’une occupation et d’une expérience nouvelle de l’espace.